Sur les pentes du Vésuve, avril 2006..
J'avance dans l'obscurité, les deux mains en avant. De temps en temps, je touche quelque chose. Ce qui est touché donne corps à ma pensée. Quand quelqu'un me touche, j'ouvre les yeux et je le reconnais. Vous ne pouvez pas sortir de mon Je sans mon autorisation. Seule option pour se débarrasser de moi : m'éliminer de votre Je.